SECTION III. DE LI1YDROSTATIQUE. 0.(}5
621. On voit donc que deux aréomètres peuvent être égale- D;rr,w.
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quantité égale lorsque la pesanteur meme. Ces derniers sont préférables , 1 . pareequ ils sont plus un à iwdi- solides, le fil de laiton étant plus gros; 2 0 . parecque, par leur p^* 1 ,"" JJ™ moyen, on peut évaluer d'une manière plus précise la différence ^^"j,,,. 1 ,* de pesanteur spécifique. *»« i« m«i.
- , _ . leurs aicome-
622. Si la pesanteur spécifique if devient t', et que, pour ,r,î - tenir l'aréomètre à la même hauteur, il faille que son poids p u«j»d«i'a.
devienne p ». on aura (616) l'équation 71-'= ■^ f *., -, Divisant <«>,,»,■« i, r ,. n p. cette équation par l'équation = , on a = , for- ^J*
mule qui donnera le rapport des pesanteurs spécifiques.
623. L'équation précédente donne ** : * : : p • ! p, OU Sonusa-cp yr : n y. * : p ; d'où tt' — ?r = formule qui donnera 1s
différence des pesanteurs spécifiques.
On peut, dans l'évaluation de supposer toujours tt = 70 ci'L'.n*»»'!^
âb ulue «le la
livres , sans avoir à craindre une erreur sensible dans la valeur P^ anteu ^.«p*- de w % — t : car la quantité a n'étant que de quelques grains, et «Ucwwmu. par conséquent une très petite fraction de la livre, * peut va- rier de plus d'une demi-unité, sans que le produit j » éprouve
des changements capables de diminuer l'exactitude du résultat. On voit donc qu'il n'est pas nécessaire , pour trouver la diffé- rence de pesanteur spécifique de deux eaux, de connoître l'una de ces pesanteurs avec la plus grande précision.
624. Lorsqu'on voudra faire des expériences avec un aréo- T*bi<.» . «m- mètre dont on connoîtra exactement le poids , il faudra , au r rû» r .£ moyen des formules ^= t±*\ et *-'—*• = faire une table d * l «* MMtt *
qui contienne les rapports et les différences de pesanteurs spé- cifiques qui répondent aux différentes valeurs Je «, depuis un
train jusqu'à 36 ou 40 grains : cette table peu étendue, et aisée calculer, évitera l'embarras de faire un calcul particulier pour chaque expérience.
625. M. de Pareieux rapporte , dans son second mémoire sur .e*p<h«»«« le canal de l'Yvette , les expériences qu'il a faites p OUr COmparer réomerre, par les pesanteurs de différentes eaux. Il s'est servi d'un aréomètre ?u ' qui pesoit 23 onces 2 gros 26 grains : 38 grains le faisoient des- cendre de 19 pouces 6 lignes j ce qui fait 6 lignes j- par grain ,
