Page:De Prony - Nouvelle architecture hydraulique, Première partie, 1790.djvu/559

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546 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.

[a].. >: v . Fy= 200 sin. {o,i65a2 — h*SLz!*&ï } =

200 sin. 9 0 . 14'. 19"= 3a, 25o livres.

[3]- • • • Ef =a aoo cos. 9 0 . 7'. 29" = 197,470.

[4j* • • • E</' = 200 cos. 9 0 . 14' 29" = 197,404.

On voit que le cheval , placé en A, tend à être abattu avec un poids d'environ 3a livres : ce poids est petit pour un che- val qui n'est pas fatigué; mais il faut considérer qu'au haut d'une montée roide, l'animal affoibli, peut cédev à une petite aug- mentation d'effort. Un alongement de quatre pieds sur un trait de 8 pieds produit une augmentation de 32, i5 — 31,716 = . o,534 liv. dans l'effort qui tend à abattre le cheval, et une diminution de 197,47 — 1 97j4°4> dans l'effort qui tire la voi- ture : ces quantités ne sont pas considérables; mais il étoit bon d'avoir une méthode par laquelle on pût se rendre compte de l'influence qu'elles ont sur le tirage. Le lecteur pourra, s'il le veut, consulter un Mémoire de M. Couplet sur le tirage des charrettes et des traîneaux, inséré dans le vol. de l'Acad. de l'année 1733; mais ce mémoire ne nousparoît pas pouvoir être d'une grande utilité dans la pratique. d« *wi i3oo. Lorsqu'on fait mouvoir un cheval dans un espace ch> «p» t .reen pi r. culaire , comme cela se pratique dans les moulins et les autres

courant U cir- ■» . » *% * »1 f» Ji 1

conféra machines mues par les chevaux, il iaut donner au cercle que f»Mu g e" tle : l 'animal a à parcourir le plus grand diamètre que pourront com- quon <»t,tifni porterie local et les différentes conditions auxquelles on est

en dormant *u I L

ceicu le plus obligé de s'assujettir. On conçoit d'abord que le mouvement ra, °" rectiligne étant le plus aisé pour le cheval, moins la ligne qu'il parcourt aura de courbure , et plus il se mouvra avec facilité ; d'un autre côté, à égale vitesse, la force centrifuge est moindre dans un grand cercle, ce qui diminue le frottement de la partie cylindrique des tourillons et la fatigue de la machine. SoitBD (fig- 189) le plan d'un manège et nm la direction de la ligne de traction , qu'on suppose en même temps être la corde sous-tendue par le cheval sur la circonférence du manège; on peut faire tourner l'axe A, ou par le moyen d'une barre An, ou par le moyen d'une barre AB, perpendiculaire à nm. Dans l'un et l'autre cas, îejbras de levier de la portion de l'effort du cheval employée à faire équilibre à l'effort de la résistance

est AL, ou \/ (AB 1 — /*L*); et faisant cet effort=: f; le rayon AB = r; la demi- corde nh = »'/ = b; le moment de l'cf-