568 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.
périeure; cette vapeur fait monter le piston x f qui tient au ba< lancier PQ par la tige de métal xh et la chaîne tangente kk; l'axe ou centre de rotation de balancier étant en C, à mesure que le piston x monte, l'équipage Z'Z attaché à l'autre extré- mité du balancier descend; lorsque x est parvenu au point le plus haut de sa course, l'ouverture bdse ferme, et la commu- nication entre la vapeur renfermée dans le cylindre B et celle renfermée dans la chaudière A, se trouve ainsi interceptée. Alors le robinet r s'ouvre et laisse passer par le tuyau jrt de 1 eau froide dans l'espace B rempli de vapeur. Cette vapeur se condense; le vide se fait en B (1), et l'atmosphère pressant sur la partie su- périeure du piston, le fait redescendre ainsi que tout l'équipage xhk et fait remonter tout l'équipage y ZZ': lorsque x est parvenu au point le plus bas de sa course, le robinet r se ferme, l'issue bd s'ouvre de nouveau, la vapeur s'introduit en B, fait remon- ter le piston x, redescendre le piston y ct ams i de suite : le piston y peut donc, par ses mouvements alternatifs , ainsi pro- duits et correspondants à ceux que la vapeur et le poids de l'at- mosphère donnent successivement au piston x t être employé à pomper l'eau et à l'élever, soit dans le tuyau fgh t soit dans un tuyau quelconque.
1339. On voit aisément qu'on peut à l'équipage Z'Z/ substi- tuer une scie qui agiroit dans un plan vertical, ou une résis- tance quelconque, destinée à avoir un mouvement vertical al- ternatif.
1340. Il y a plus; l'orifice bd ainsi que le robinet d'injection r sont ouverts ou fermés par le jeu même de la machine, au moyen de certains mécanismes particuliers, dont nous don lie- rons la description dans la suite : ainsi on n'a besoin d'employer deshommes que pourl'entretien du feu F , avantage que n'ont pas lesmachinesreprésentécs parles (fig. 191 et i9a),danslesquelles l'introduction, l'isolement et la condensation de la vapeur exi- gent des agents étrangers au mécanisme de la machine.
1341. La machine de Newcomen, malgré son grand avantage r celle de Savoy f a cependant plusieurs inconvénients, dont il
Inconvénient» de U machine de IScnco- SUT m en; d-
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"trt^dî « gloisappellé M. Wats, a imagine, vers 1 année 1770, la machine
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SwTL b«£ n'est pas encore temps de faire le détail, et dont un des principaux w."v\îJ eU m.l consiste à introduire l'eau d'injection dans le cylindre. Un An-
( 1 ) Il faut toujours entendre par le vide , ainsi form^ , non pas un vide absolu , mats un espace rempli d'un gas dont le ressort est beaucoup moins consiuéiablc que celui de l'air ex- térieur : ceci sera plus amplement développé dan» U suite.
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