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Page:De Rives - Le Chevalier Falardeau, 1862.djvu/53

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LE CHEVALIER

idées qu’elle a soulevées dans mon esprit, et permettez-moi que j’obéisse au besoin impérieux de vous en témoigner de nouveau mon admiration. Mais, avant tout, recevez, monsieur, les sentiments de ma reconnaissance, de ce que vous avez fait revivre pour moi un temps qui, hélas ! n’est plus, qui ne reviendra peut-être jamais plus ! ce temps si fertile en écoles de peinture d’où s’envolaient par flots ces légions d’artistes éminents qui allaient apporter, dans tout le reste de l’Europe, le goût exquis du beau, et y répandre toujours plus la renommée de la glorieuse Italie.

« Oui, monsieur, j’ai admiré