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Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome I, 1807.djvu/74

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CORINNE OU L’ITALIE

rais-je pu croire que l’émotion du plaisir pût trouver sitôt accès dans mon ame ? Ce n’est pas toi, le meilleur et le plus indulgent des hommes, ce n’est pas toi qui me le reproches ; tu veux que je sois heureux, tu le veux encore malgré mes fautes ; mais puissé je du moins ne pas méconnaître ta voix si tu me parles du haut du ciel, comme je l’ai méconnue sur la terre ! —