Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome II, 1807.djvu/312

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
308
CORINNE OU L’ITALIE.

laient de temps en temps au souvenir d’Oswald. Elle avait à combattre la nature des choses, l’influence de la patrie, le souvenir d’un père, la conjuration des amis en faveur des résolutions faciles et de la route commune, et le charme naissant d’une jeune fille qui semblait si bien en harmonie avec les espérances pures et calmes de la vie domestique.