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Ce ne sont pas les confuses revendications de prétendus « droits » qui peuvent constituer un lien social, mais l’accomplissement régulier des devoirs. Et aucun peuple ne peut se laisser imposer des devoirs à l’égard de l’ensemble des autres nations par la contrainte et même parle contrat. Il serait un traître, l’homme d’Etat qui sacrifierait les intérêts vitaux de sa patrie à ce qui ne peut durer autant qu’elle : une chimère, une alliance ou un traité. C’est dans l’ordre spirituel seulement, éternel et universel, qu’un peuple se peut reconnaître des devoirs plus larges, plus élevés que celui de se maintenir per fas et nefas.
