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Page:Delarue-Mardrus - Horizons, 1904.djvu/72

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Je pense à vous, moments à tout jamais perdus
Troublés de vers luisants et de crapauds aigus.

Heures qui reviendrez dès le prochain été
Identiques aux soirs que vous avez été,

Alors qu’ayant aimé, songé, changé, vécu,
Nos cœurs passés seront comme s’ils n’étaient plus…