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XXIII

Lautomne feutrée vint prendre possession des allées du parc. La grande pelouse, couverte de feuilles tombées, se tachetait comme une peau de panthère. D’autres chutes jaunes, en se noyant dans l’eau, transformèrent la physionomie du petit lac. Partout, les branchages à demi déshabillés commencèrent à révéler l’architecture noire des arbres. Un bleu plus doux traînait en haut, un soleil plus léger allumait par places des pourpres rouges et violettes.

Octobre !