Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, X.djvu/608

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��Correspondance.

��» magis ponderet, quo minus atit mapçis ad terrœ centrum accèdit, » inquirere, varijfque modis foluere. » Après deux alinéas, qui sont de lui, Mersenne continue : ■• Placct autem Illuftris viri hac de re, » quani ad me mifit, fententiam cxponerc, quà dignofcatur, quo » fcnfu dici poiïit corpus aliquod elTe grauius. cùni fit terrae centro » propius. Quaproptcr fit A terrai centrum,... Igitur leuior erit aqua » centro propior. » La dernière partie de la p. 25, et la p. 2b tout entière, correspondent exactement aux p. 238 à 241 de Descartes, dont elles ne sont même le plus souvent que la traduction mot ù mot.

Ce qui suit dans Mersenne (toujours comme démonstration de la prop. VII) : « Supereft explicandum, quà ratione corpus idem graue, » centro pro-(;7. 27) pius cùm fit, grauius dici poflit. Sit A terras centrum, fitque BD libra... », jusqu'en haut de la p. 29, est traduit du texte suivant de Descartes, t. III, p. 242 à p. 244, 1. 18, avec la même figure de la p. 243, et les mêmes lettres.

Page 3 1 : n Prop. IX. — Trochleas explicare & ad veâem referre, » planique inclinati mechanicum auxilium inuejtigàre. » Toute la p. 32 reproduit, en abrégeant un peu, et en changeant les chiffres (40 livres et 20 livres, au lieu de 200 et de 100) le texte de Descartes, t. III, p. 229-230 : « Premier exemple. — De la poulie. »

A la p. 33, 1. 12, Mersenne passe de la poulie au plan incliné : « De quibus poftea fufiùs, nunc enim piani inclinati proprietas expli- )) canda. Sit igitur planum horizontale C B... » Et la traduction ou paraphrase reprend, p. 33-34, correspondant au texte de De.s- cartes, t. III, p. 232 : « 2 Exemple. — Du plan incliné », jusqu'au bas de la p. 233, 1. 26. Ici toutefois Descartes fait une distinction, que ne reproduft pas Mersenne : « Notez que ie dis commencer a » de/cendre, & non pasfimplement de/cendre... » (1. 27-8). Mersenne met simplement « neque tamen defcendere poteft », et passe ici les quelques lignes dans lesquelles Descartes explique sa distinction (p. 233, 1. 27 à 1. 3o). Mais aussitôt après, la traduction recommence pour le texte de Descartes, p. 234, 1. i8-3o. Et revenant en arrière, il reprend, pour le traduire en cet endroit, l'alinéa omis précédem.- ment (p. 233, 1. 3o, à p. 234, 1. 18).

Mersenne continue : « Hac autem ratione vir Clarillimus ea de- » monftrat, quœ ad prœdidum planum attinent. Sit igitur N O, quae » primam potentiœ dimenfionem référât,... elfe fubduplum ponderis » à C ad A fublati. » (Page 34-35.) Et tout ce passage est traduit d'un autre texte de Descartes, emprunté à la lettre du 12 sept. i638, t. III, p. 358, 1. 20, à p. 36o, 1. 5,

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