Page:Desnoiresterres - La jeunesse de Voltaire.djvu/506

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jeune Arouet — Lettre à madame de Ferriol au sujet Œdipe. — Voltaire fait à la Source des lectures de son Henri IV. — Enthousiasme de Bolingbroke et de la marquise. — M. d’Ussé et son château. — Ses deux femmes. — L’abbé de Grécourt. — Portrait de l’aimable marquis. — Voltaire passe six semaines à Ussé. — Projet de souscription au poëme de la Ligue. — Arlequin-Persée. — Dédicace au roi. — N’est pas dans le goût des épîtres ordinaires. — Retour à Paris. — Les comédiens français et les théâtres forains. — Despotisme des premiers. — Piron et le jeu de Francisque. — Arlequin-Deucalion. — Petite malice à l’endroit d’Artémire. — Altercation entre les deux poëtes dans la loge de madame de Mimeure. — Comment elle se termine. — L’hôtel de la rue des Saints-Pères. — M. et madame de Mimeure. — Arouet leur ami depuis longtemps. — Éloge que Saint-Simon fait du marquis. — Réforme de la vaisselle et des habits. — La marquise obtient un brevet de dispense. — M. de Mimeure originaire de Bourgogne comme Piron. — Ce dernier accueilli à titre de compatriote. — Sa rondeur réussit. — Première entrevue de Piron et de Voltaire. — La croûte de pain et le flacon de vin. — Le poëme de la Ligue s’imprime secrètement à Rouen. — Vovage du poëte en Normandie. — On lui fait fête. — Cideville. — La présidente de Bernières. — Son intimité avec Voltaire. — Première représentation d’Inès de Castro. — Mot impertinent de Voltaire au comte de Verdun. — Bolingbroke retourne en Angleterre. — Démarches pour caser Thiériot. — Les Pâris ne veulent pas l’employer. — Seconde apparition à Rouen. — Mort de Génonville. — Désolation de Voltaire. — Épîtres à Gervasi et aux mânes de Génonville. — Le poëte à Villars et à Maisons. 
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VIII. 
— Voltaire en danger. — Incendie de Maisons. — La Ligue. — Forges. — L’abbé Nadal. — Le président de Maisons. — Esprit distingué et homme aimable. — Paris décimé par la petite vérole. — Les d’Aumont. — Voltaire atteint. — On mande Gervasi. — Traitement auquel le malade est soumis. — Voltaire lui attribue sa guérison. — La Lecouvreur à son chevet. — Fêtes interrompues. — Dévoùment dont il est l’objet. — Thiériot accourt de Rouen en poste. — Boulainvilliers et Colonne. — Horoscope de madame de Nointel. — Ces prophéties ne sont pas toujours infaillibles. — Rétablissement du poëte. — Le feu se déclare dans sa chambre après son départ. — Incendie du château. — Perte énorme. — Désespoir de Voltaire. — Maisons le console. — Piron célèbre sa convalescence. — Un péché de jeunesse. — Tour diabolique. — Motifs de doute. — Docilité de Piron devant les critiques de Voltaire. — Henri IV introduit dans Paris. — Sensation qu’il produit. — Jugement d’un contemporain. — Malveillance qu’il rencontre de la part du clergé. — Coligny et la reine Elisabeth. — Le poëme infecté des erreurs des semi-pélagiens. — Amertume de Voltaire. — Démarches du nonce Maffei près de Dubois. — Mariamne. — La reine boit ! — Voltaire toujours dans les remèdes. — Vole les pillules de madame