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nairement de quatre petites cotices alésées et entrelacées, deux en bandes et deux en barres. Lorsqu’il y a plus de quatre cotices, on en exprime le nombre en blasonnant.
de Pidoux de Montanglost, de Francheville, en Brie : d’argent, à trois frettes de sable.
de Lattier de Bayanne et d’Ourcières, Dauphiné : d’azur à trois frettes d’argent ; au chef du mme.
de Bures d’Espinay, de Béthencourt, en Normandie : d’azur, à la frette de six pièces d’or en bande, accompagnée en chef d’une merlette, et accostée en pointe de deux molettes d’éperon, le tout du même.
Fretté, ée, adject., se dit d’un écu, d’un pal, d’une croix, d’une fasce, etc., chargés de six cotices entrelacées en diagonales, trois en bandes et trois en barres.
Lorsque le Fretté a plus ou moins de six pièces, on doit en exprimer le nombre en blasonnant ; on observe toutefois qu’il ne peut y en avoir moins de quatre, ni plus de huit s’il y avait dix cotices, on se servirait du terme treillissé.
Le Fretté est quelquefois chargé de clous, un en chaque intersection ; en ce cas, on le dit cloué.
du Hallay de la Borderie, en Bretagne : d’argent, fretté de gueules.
de la Motte-Rouge, en la même Province : de sable, fretté d’or.
d’Anglebermer, en Beauce : d’azur, fretté d’or.
d’Anselme de Grugières, au comtat Venaissin : d’azur, fretté d’argent de huit pièces.
Picaud de la Pommeraye, en Bretagne : d’argent, fretté de gueules ; au chef du même, chargé de trois trèfles d’or.
Rogeron des Reaux, dans l’Avranchin : de gueules, au chevron d’argent ; au chef du même, fretté du champ.
de Sourdon, en Vermandois : d’argent, à la croix de sable, frettée d’or.
de Riencourt, en Picardie : d’argent, à trois fasces de gueules, frettées d’or.
de la Chambre du Vauborel, en Normandie : de sable, à la fasce d’or, frettée de gueules, et accompagnée de trois roses du second émail.
