Page:Diderot - Œuvres complètes, éd. Assézat, I.djvu/284

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l’enchanteur Freston, chez le duc de Médoc, dans la continuation maussade de l’excellent ouvrage de Cervantes ; et qu’on tient dans le sentier des épines que ceux qui l’auront écouté sur la route lui seront abandonnés aux portes de la garnison, pour partager avec lui, dans tous les siècles à venir, et dans des gouffres de feu, le sort affreux auquel il est condamné. Si cela est, on n’aura jamais vu tant d’honnêtes gens rassemblés avec tant de fripons, et dans une si vilaine salle de compagnie.