Page:Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/276

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XCIX. — 
Si tu savais combien cette attente a de charmes 
 125
C. — 
Tout me rit. Tout me plaît. Je me réconcilie 
 126
CI. — 
Aujourd’hui, j’ai reçu ta lettre, en me levant 
 127
CII. — 
J’ouvre ta lettre. Elle est bien telle 
 128
CIII. — 
Ces quatre simples mots d’un accent si sincère 
 129


CIV. — 
Tu vas dire que j’exagère 
 131
CV. — 
Sans émotion, sans tendresse 
 132
CVI. — 
Tu te radoucis sur-le-champ 
 133
CVII. — 
Ah ! je faisais un bien aimable compagnon ! 
 134
CVIII. — 
Non, je n’avais pas faim des choses bellissimes 
 135
CIX. — 
Je faisais fausse route, au surplus ; et j’eus peur 
 136
CX. — 
De mon faux enjoûment je poursuivis le rôle 
 137
CXI. — 
Le ruban sur l’épaule 
 138
CXII. — 
Sur les hortensias bourdonnaient deux frelons 
 139
CXIII. — 
Mais j’étais au fait de la chose 
 140
CXIV. — 
Tu poursuivais ton verbiage 
 141
CXV. — 
Or (ainsi notre esprit s’exerce 
 142
CXVI. — 
Il revint. J’en fus aise, en somme 
 143


CXVII. — 
De toi je m’exile 
 145
CXVIII. — 
J’ai fait bonne route 
 146
CXIX. — 
Un sang nouveau 
 147
CXX. — 
Que c’est étrange ! 
 148
CXXI. — 
Or, c’était la trêve ! 
 149
CXXII. — 
Rages-tu ? Je suis sans 
 150
CXXIII. — 
Par toute la maison j’erre 
 151