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CXXIV. — 
Le dimanche, jour de famille 
 152
CXXV. — 
Si les gens du commun sont dehors 
 153


CXXVI. — 
Dans ce jardin, sous ces berceaux charmants 
 155
CXXVII. — 
Me connaîtrait-il ? Il regarde mes gants 
 156
CXXVIII. — 
Il ne me connaît pas, mais il me reconnaît 
 157
CXXIX. — 
De ce bel éventail, pour un anniversaire 
 158
CXXX. — 
« Si je pouvais savoir où la dame demeure, » 
 159
CXXXI. — 
De nouveau, tout a changé ! 
 160
CXXXII. — 
Ce n’est point par mégarde, évidemment, ma belle 
 161
CXXXIII. — 
Pour moi, je ne vais plus au jardin romantique 
 162
CXXXIV. — 
Plein d’une joie indéfinie 
 163


CXXXV. — 
Des poètes ont dit : sait-on tout ce qui dort 
 165
CXXXVI. — 
Le soir fâcheux pendant lequel, il m’en souvient 
 166
CXXXVII. — 
Mais j’ai mauvaise grâce à te chercher chicane 
 167
CXXXVIII. — 
Peut-être Marianne encore garde-t-elle 
 168
CXXXIX. — 
Non, tu n’obtiendras pas, ma chère, cet hommage 
 169
CXL. — 
Ton père était-il duc ? N’était-il que marquis ? 
 170
CXLI. — 
Ainsi donc, sur ta vanité 
 171
CXLII. — 
« Pourquoi, » diras-tu 
 172
CXLIII. — 
Si tu n’avais jamais voulu que me chérir 
 173


CXLIV. — 
Laure fut pour Pétrarque une divinité 
 175
CXLV. — 
J’ai lu ces mots : Belle et méchante, sur ton front 
 176