Page:Dornis - Essai sur Leconte de Lisle, 1909.djvu/164

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
152
ESSAI SUR LECONTE DE LISLE

Enfin il y a des heures où le poète désespère des sentiments affectueux de ceux qui lui sont le plus chers :


« … Endors-toi sans tarder en ton repos suprême
Et souviens-toi, vivant dans l’ombre enseveli,
Qu’il n’est plus dans ce monde, un seul être qui t’aime[1] »


  1. « La Paix des Dieux ». Derniers Poèmes.