» s’y trouve… et vous y passerez, qui
que vous soyez, sauf à expliquer après
qui de nous deux sera en contravention ».
Effectivement, toute nue dans ses bras, et sans défense, je ne sais trop ce qui en serait résulté, lorsque la porte s’ouvrant toute grande, et de suite les rideaux du lit, je vis ma tante avec la maîtresse, qui s’étant rencontrées à la porte de l’auberge, accouraient à mes cris.
Toutes deux se précipitèrent à-la-fois sur le lit. Ma tante m’enleva, et l’aubergiste empoigna son mari, qui ne voulait plus la reconnaître… Il s’élançait toujours sur moi comme un furieux, malgré les empêchemens de mes deux gardiennes, qui avaient peine à s’opposer à ses efforts, et de l’épouse sur-tout, qui présentait son corps entre nous deux pour couvrir le mien, en s’écriant : « Ah ! le forcené… depuis qu’il m’a