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GENEVIEVE.


minute pour faire un mauvais coup… Après m’être assise un instant dans la cabane du paysan, voyant que par intérêt pour moi, par amitié pour ma tante, ou seulement par curiosité, l’homme et la femme m’accablaient de questions auxquelles j’étais embarrassée pour répondre, dans la crainte que j’avais de ne pas le faire juste, et de me couper… je prétextai un mal de tête et un besoin de prendre l’air, et je sortis pour me promener sur le chemin.

Il n’y avait pas un demi-quart d’heure que j’y marchais, lorsqu’il passa une voiture fort élégante, revenant de la cour, qui était alors à Fontainebleau ; il y avait dedans une belle dame avec un anglais.

La dame me regarda beaucoup, et me fit remarquer par l’anglais. Ils firent arrêter la voiture, en tirant le cordon du cocher, pour mieux me considérer ; et en même temps la dame m’appela d’un air d’amitié. Je m’avançai volon-