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GENEVIEVE.


devant le feu… Il me rattrapa donc, hésitant près de la porte, et me fit rasseoir en me disant de ne plus penser au sacrement ; que la confession était finie ; qu’il n’y avait plus ni pénitente ni confesseur, mais deux bons enfans qui pouvaient et qui devaient devenir deux bons amis… qu’il ne tenait qu’à moi de voir combien il voulait sincèrement être le mien ; et pour me le prouver, il me caressait et m’embrassait toujours en me servant et me faisant manger malgré moi.

« Mais, monsieur le vicaire, lui dis-je enfin, est-ce donc comme cela qu’on administre le saint sacrement de la pénitence ?… Et moi, qui me confesserais comme d’un grand péché, si je m’étais laissée embrasser par un autre, n’en fais-je donc pas un plus mortel de me laisser embrasser par un homme d’église ?

» Oh ! non, reprit-il, c’est bien différent ! Dieu nous a donné, à nous

M.