contre moi et de croire au respect et à l’attachement inaltérables
Avec lesquels j’ai l’honneur d’être
Votre très-dévouée et très-humble servante
VARVARA DOBROSÉLOFF.
Ah ! matotchka, qu’est-ce que vous avez ? Vous me causez continuellement des frayeurs ! Dans chacune de mes lettres je vous engage à
vous ménager, à vous bien couvrir, à ne pas sortir par le mauvais temps ; vous ne devriez négliger aucune précaution, — et vous refusez
de m’écouter, mon petit ange. Ah ! chérie, vous êtes vraiment comme un enfant ! Vous êtes faible, vous n’avez pas plus de force qu’un
fétu de paille, je le sais. Le moindre vent qui souffle suffit pour vous rendre malade. Eh bien, il faut prendre garde, veiller sur votre santé, éviter les risques d’indisposition, et ne pas occasionner des inquiétudes à vos amis.
Vous témoignez le désir, matotchka, de con-