Page:Driant - L’invasion noire 2-grand pèlerinage à la Mecque,1913.djvu/84

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Alors d’un pas automatique, accablé, les yeux fixes, il se dirigea vers le camp.

Zahner allait le suivre, hésitant, tourmenté d’une envie irrésistible d’écraser comme une bête venimeuse le misérable qui venait de tenailler aussi atrocement le cœur de l’homme qu’il aimait comme chef et comme ami.

Saladin le devina. À celui-là aussi il voulut porter un coup qui fit plaie.

— À propos, fit-il, au milieu de cette discussion trop