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Page:Du Saussay - Perverse, 1896.djvu/137

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PERVERSE

de tout individu qui s’adresse pour la première fois à une belle fille, elle se sentit des dispositions pour la noce, oublia de rentrer chez ses bourgeois, et lança sa candeur,

ravagée par des rêves constants, au premier tas d’orties qu’elle découvrit dans une ruelle de chambre meublée, derrière Saint-Philippe-du-Roule, où elle avait suivi de Plombières.

Après souper, après l’amour :