Aller au contenu

Page:Du Saussay - Perverse, 1896.djvu/251

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
245
PERVERSE

— Madame, mademoiselle… je ne sais pas… je vous cherchais…

Elle était extraordinairement jolie, la fillette, en lui riant, étonnée, de ses trente-deux dents, grosses et luisantes comme des perles.

— Monsieur, vous me cherchiez ? Alors vous devez être satisfait, puisque vous m’avez trouvée.

— Êtes-vous assez jolie !