Page:Dujardin - Poésies, 1913.djvu/197

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Tandis qu’ils écoutent le bruit monotone
Des feuilles qui tombent et des jours qui passent.
Ah ! que le temps est donc cruel et doux !
Elle soupira… Oh ! parlons d’autre chose !…
… Un soupir de ses lèvres roses,
C’est assez pour vous rendre fou.

Elles ont soupiré, les lèvres roses,
Et le voilà qui pleure ainsi qu’un fou.