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Page:Dumas - La salle d'armes 1 Pauline, Dumont, 1838.djvu/184

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parler d’une chasse, d’un accident arrivé à M. de Lucienne fils, n’est-ce pas ? En ce moment le comte leva les yeux et nous aperçut. Quelque chose comme un sourire passa sur ses lèvres.

— Messieurs, dît-il aux trois joueurs qui faisaient sa partie, voulez-vous me permettre de me retirer ? Je me charge de vous envoyer un quatrième.

— Allons donc, dit Paul, tu nous gagnes quatre mille francs et tu nous enverras un remplaçant qui se cavera de dix louis. Non pas, non pas.

Le comte, à moitié levé, se rassit ; mais, au premier tour, un des joueurs ayant engagé le jeu, le comte fit son argent. Il fut tenu. L’adversaire du comte abattit son jeu ; le comte jeta le sien sans le montrer en disant : J’ai perdu, poussa l’or et les billets de banque qu’il avait devant lui en face du gagnant, et se levant de nouveau :