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Page:Dumas - La salle d'armes 1 Pauline, Dumont, 1838.djvu/363

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Maintenant que la chose était accomplie, j’en voyais se dérouler toutes les conséquences.

On me frappa sur l’épaule, c’était le docteur.

— Et Pauline ! m’écriai-je en joignant les mains.

— Elle a repris connaissance…

Je me levai pour courir à elle, le docteur m’arrêta.

— Écoutez, continua-t-il : l’accident qui vient de lui arriver est grave ; elle a besoin avant tout de repos… N’entrez pas dans sa chambre en ce moment.

— Et pourquoi cela ? lui dis-je.

— Parce qu’il est important qu’elle n’éprouve aucune émotion violente. Je ne vous ai jamais fait de question sur votre position vis-à-vis d’elle ; je ne vous demande pas de confidence ; vous l’appelez votre sœur : êtes-vous ou n’êtes-vous pas son frère ? cela ne me regarde point comme homme, mais cela m’im-