Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/299

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je ne veux ni ne puis cependant me séparer de vous à tout jamais, sans vous exprimer ma profonde gratitude : croyez que mon père et moi n’oublierons jamais, monsieur le chevalier, votre noble dévoûment, et que chaque jour votre nom trouvera place dans nos prières.

— Nous séparer ! répéta de Morvan d’une voix sourde et après un moment de silence. Mais c’est impossible, mademoiselle !… que voulez-vous donc que je devienne sans vous !…

Le trouble du malheureux jeune