Page:Duplessis - Les Peaux-rouges, 1864.djvu/34

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venir sur un aussi triste sujet, la scène atroce qui suivit ces paroles de Yaki ; mais il y a dans un récit certaines règles à observer et que l’on ne peut enfreindre, c’est ce qui fait que nous sommes obligé de laisser là Mariquita, pour retourner à madame Urraca partie, on s’en souvient, en compagnie du brave Antoine, à la recherche de son fils Pedro.