Page:Durand - La pomme de terre, 1834.djvu/239

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d’autre part,|| 23,300 fr.|| |- | ||mes de cour, pour le soin des bœufs et autres ouvrages,|| 1,000|| |- | ||Intérêt des sommes ci-dessus dé|| 25, 758|| |- | ||Total des dépenses : || 25,758 fr.|| |- | ||L’on obtiendrait 75,000 kilog de fécule à 34 fr. les 100 kilog.|| 25,500|| |- | ||Si un bœuf à l’engrais, sans être parfaitement gras, offre néanmoins à la vente, au bout de trois mois, un bénéfice de 100 fr. ce bénéfice se renouvelant quatre fois dafts l’année, serait donc de 4<>o fr. qui, répétés 25 fois, donneraient une somme de 10,000|| || |- | ||Laquelle, ajoutée au produit de la fécule,|| 25,5oo|| |- | ||Formerait celle de 35,5oo D’où il résulte, soustraction faite du montant des dépenses,|| 25,758|| |- | ||Un bénéfice net de|| 91742 fr.|| |- |}

Ainsi, en abandonnant le produit de la vente des engrais, formé par le bétail, ou le montant de leur valeur pour parer aux frais occasionés par l’entretien de la fabrique et le transport des marchandises, il est facile de concevoir que le bénéfice qui se présente est considérable, vu l’exiguité