« Mais si leur ordre était différent ; si de plain-pied dans l’une des maisons, elles étaient placées dans l’autre par étages successifs, on dirait qu’avec une composition semblable ces maisons sont construites sur des plans différens : ainsi la composition d’un animal se détermine par les organes qu’il possède, et son plan, par la position relative de ces organes, ou ce que notre savant confrère appelle leur connexion.
« Mais qu’est-ce que l’unité de plan, et surtout l’unité de composition, qui doivent servir désormais de base nouvelle à la zoologie ? Voilà ce que personne ne nous
bois, plâtre, etc. ; de même qu’à l’unité de fonctions, puisque l’objet de toutes est également de servir d’habitation aux hommes.
Toute composition organique est la répétition d’une autre, sans être de fait produite par le développement et les transformations successives d’un même noyau. Ainsi, il n’arrive à personne de croire qu’un palais ait d’abord été une humble cabane, qu’on aurait étendue pour en faire une maison, puis un hôtel, puis enfin un édifice royal.
La science achevée sur un point se compose de faits généralisés, par conséquent de rapports philosophiques. Et ce sont de tels résultats qu’on affecterait de proclamer des opinions plus ou moins vraisemblables, de condamner même comme se trouvant trop décidément placées sous le reflet des inspirations romanesques d’un Telliamed !G. S. H.