Planche LIV,
m
Liy^. X repréfente la manière dont font conftniîtes les palifiades des bourdigues : le filet Z de la planche précédente , fe trouve ici marqué r. On voit en grand , dam hfig* 2^ Teffèce de truble dont nous avons obfervé que le j-êchçur, qui eft fur le devant de la planche J5 , doit fe fcrvir pour prendre le poiffon. Le râteau^ fig. 3 , fert à dreffer le fond de la bourdigue.
On voit , dans la^^^. 4, une canne préparée comme toutes doivent l’être pour entrer dans la conflruâion des paiiffades.
Fig. j*. Difpofition des cordes dans l’attelier , pour aflembler & lier les cannes , enforjte qu^elles forment des claies folides»
Fig. 6. Un goulet de maniguiere, yu en grand.
La fig. 7 eft la vue d’une efpèce de bour- (17)
nique par en haut à un moulinet Z. , & par le bas à la queue du filet. Af, bateau dont les pêcheurs relèvent le filet. O , piquet enfoncé dans le terrein , & qui ferc à tenir ouverte également rentrée du filet. Les lettres QR indiquent la pofitiott de la queue du filet, levé pour qu’il sèche, Fig. 2. On voit en/une portion d’unmatrcau. En dd eft un coUîcr de corde ; en t^ un dv s bordi de Touverturedu filet : ce bord eft à fl jur d*eau. L’autre bord C eft au fond de feau. Le piquet o les tient écartés Tun de Tautre. e^ largeur de leur diftance. ^1 courbe de bois. A, crochet» auxqujîls on attache Panfe de corde i. La lettre k défigns une bride de fer, dont l’oeil reçoit le chevron l^ furmonté du bout de corde m ; & le long duquel font des chevilles n.
Fig. 3. Le filet û, eft bordé d une forte corde
- c. Les lettres/, ggy h y ii^ répondent à leurs
femblables dans ^fig* 2 : ces objets font feulement vus ici , tournés dans un fens différent. Fig. 4. Labire ou bure , qu’on voit en Cdans digue, dite maniguiere ou meynadiere. (7, cou- ^jig^ j^ EUe j^i^ g^jç piu^ allongée du corpt pure nommée ^mtt, qui communique de l’étang l ’ -^ - - -DR à la mer E. On pratique dans Tétang une enceinte F , que Toïi interrompt en plufieurs endroits pour y placer des goulets de bourdigue G , femblables à celuîr de la fig. 6. On voit,y ?^. 8, un labyrinthe ufité dans ces pèches.
Plan’chkLV.
Cette pi. repréfente des dideaux ou guidçaux uGtés au pont de Saint-Cloud près Paris, & A d’autres ponts.
La vignette d’en- haut , on fig. 1 , montre en A un de ces filets en entier. De £ en C , il eft étendu dans l’eau. Les lettres ED font relatives à la largeur de l’arche. FF , matreaux fcellés dans J le maflif de Tarchc* On voit en GG , des courbes de bois ^ qui embraflfent en partie les matreaux. Hff^j moulinets. iC , eft une corde qui commu-Piches.
qu’elle ne Teft ici".
m , Embouchure de la bure, nnj le corps de cette efpèce de nafle. o , fon extrémité. /> , petite naffe , nommée cornion , adaptée au corps de la bure, q , tampon , dont on bouche Touverture o. Celle du cornion , marquée r , fe bouche par l’un des deux tampons/r. On affure ts tampons avec une cheville de fer u , dans le trou de laquelle on met un cadenas.
Fig. $. Vue en grand d’un moulinet pareil i ceux qu’on voit en H, au haut de la^ ?^. 1. AA^ eft une portion du parapet, coni^re laijuelle font appuyées les potences DB DB. La lettre C défigne la corde dont on faifit un des leviers EEEE , quand on veut arrêter le treuii. Planche LVL
On voit au haut, 7 ?^. i , des ravoirs fimples^
! tendus en paliftàdes fur des j^^iquets.