Page:Encyclopédie méthodique - Pêches, Planches.djvu/24

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La vignette du milieu , jig. a, repréfenie cej filets dans Tccat où laaiarée montante les fouleyant, leur fait prendre un« Gtuation horizontale^ «font ils changent pour redevenir verticaux, lorfquela marée fe retire.

Au bas de lafl. ^jig. 3, fontdesfollcs tenduei «1 Mvoirs î elles font par le bai une panfe , où k poiffon fe raflèmble.

Plamchb LYII.

Tig, I. Hauts-palis : filets tendus en paliflàdes fur de hautes perches. Leurs mailles font calibrées en forte que les harengs & les nuquereaux iy prennent par les ouïes.

Dans la fig. 2 , font des iîlets abattus au pied de leurs piquets , jufqu’à ce que le jufan commençant à fe faire fentir y on les relève avec des poulies & des manœuvres AB qu’on voit à la tête de tous les piquets.

On voit , dans Ufig. 5 , un filet pour prendre Aes poillbns nommés mules : BAB le repréfentern tendu. On le tend aâuellement en bai. Planche LVIII.

f’tg. 1. Parcj préparés parla nature, auxquels on a ajufté , foit un clayonnage a , foit une digue de pierres b , pour y retenir l’eau de la mer. Fig. 2. Parcs que l’an a menées d’une manière très-Gmple, au moyen des murailles a>i , qui font en pierres sèches , & des grillages bb qui permettent i l’eau de s’écouler , mais s’oppofent à la fortie du poiflbn que le flot y a porté pardeûtis les murailles.

Fig. 3 . Parc de pierres, termine par des nafles abc , mifes bout-à-bout , &. foutenues par des piquets </*/.

Fig. ^ Parcs en pierres sèches, dans la confirudlon defquels on a mis plus d’art que pour les frécédenf, On a repréfijmé parles lottiesi^, des ouvertures pratiquéespourrécoulcment de rcKrt*- ’ enbbb, font des efpèccs de contreforts. Fig. 5". Parc de pierres, fort bas , mais où on n’a laifTé aucunes ouvertures pour la fortie de l’ean. Ainfî les plus petits poiflbns même s’y trouvent retenus.

Fig. (5 & 7. Parcs corfRruits en bois. On voit de (i en 3 , les claise-voies enfoncées dans des banquettes de pierres q«i en aflùjettiflentle pied ; ■ftiais de benc y le lerrein efl fuppofé affez folMe pour que les montants y étant entrés avec force , tout l’ouvrage ne foit point fujet à être emporté par le courant. Ily a en^^i/./, des bouts de roches dont on a profité pour ne mettre de clayonnages qu’en eee. ^U

Planche LIX. ^B

On volt , dans lajfg. f , pluCeurs petits par«  qui s’entretouchent , & dont on établit ainfî quelquefois un plus grand nombre pour couvrir toute une plage.

Fig. 2. Un de ces parcs nomme Benâtres , vtJ en grand.

Dans la Jig. 3 , BAC repréfenrem un parc de clayonnage, formé par deui^ailes droites, âc terminé par un bourgne D.

Il y a en HK , une autre eonflruâion de parc^ dont tout le bas efl à jour , pour laifler librement l’eau s’écouler , & les petits poiiTons retourner à la mer.

Le tiSii des clayonnages ordinaires eflrepiéfenté dans la_^. 4.

Fig. 5". Batte pour enfoncer IcspiquetsaaadK clayonnage.

Fig. 6. Coupe d’un bourgne , tel que celui de Fig. 7. Pêcheurs qui vont fur des côtes vafeufes j avâc de petits bateaux nommes acons.