Fig. 8. CUyonmge’moïns ferré que celui de la ■4- Fig. p. Plan d’une difpofition de bouchots fur ifieur» rangs , qui vont de S en A, depuis U
- 6te juiqa*à la mer.
Flanchk LX. hify, I repréfente comment on tend à-Ia-foù irand nombre de parcs anguleux. On voit , dans l^jî^. 2 , un parc de filets , qui forme une portion de cercle. Fig. 3. Parc, dit à Tangloife : il fe termine par 1 cxoctiei. Fig. 4. Parc à grandes tournées. Fig. j. Hauts parcs à crochets. Planche LXI. ^^fië- ’ montre une dirpofition dépare, ï on met alternativement une certaine quantité
- filets bas , & une autre quantité de filets
lauts. La Jtg. 2 montre une manière dont on tend un parc de hauts filets pour prendre des maque-W Fig. 3. Petit parc, nomme Ciojèc. On voit , ^g. 4 , une forte de petite courtine , propre à prendre des poifîbns plats. ^ Planche LXII. l^^g. 1 eft le plan d’un parc fermé. AB eu le corps du parc. CHGD , la chafie qui y conduit les poiûbns, E , ouverture pour procurer r<*coulemenc entier de fcau. Ftg. 2. MafTif de clayonnage & de pierres rchcs , pour former le pied d’un parc. Fig. î & -t’ P^rcs fermés , qui ne font com-’ pofés que de filets tendus fur des pieux, L,e» filets de la^. j , font tendus en folles. La/jj. 5* feû un Terreux aa-devant duquel ett une chsffe. Flakche LXIII. Le pied des parcs, fig, l fie 2 , eft compofc dû naaftîf de clayonnage & de pierres sèches, qu’on a vu dans la pi. LXII,J% 2. Il y a ici dans la figure r , quatre tours ou corps de parcs, qui ont une communication mutuelle par autant de chafîes. Au contraire, dans la^. 2, chaque corps ou tour a une chafle qui n’eft que pour lui. Planche LXIV. On voit dans la fig. l , une forte de parc conftruit autour de rochers, & que pour cette raifon Ton nomme entour. La fig. 2 efi un parc , au fond duquel eQ ajuflc un verveux. Fig. 5 , Efpèce de parc qu’on eft dans l’ufage d’établir en pleine eau dans la Méditerranée , & que l’on nomme Paradiére, On en voit ici U figure & le plan , l’une au-deffus de l’autre. Plahche LXV. Fig, I. Petite pêche nommée le Loup. Ort n’y emploie que trois perches. C’cft une forts de Parc qui n’eft point fixe. On -voii^fig, 2, ce qu’on nomme écaliêrej, en BafTc-Normandie. Le fond feul de ce petit parc eft aiTuré avec des pique«. Le refte eft libre pour que le varech paife par-delTus, fans déranger la tente. On a mis dans h fig. J une pêche où deux hommes nuds dans l’eau prcfentent un filet ouvert à la marée ; les perches qui font aux fixircmitcs leur fervent à s’élever au-defiiis de la lame quand elle vient les couvrir ; ils reculent de la ibrte vers la cûtc à niefure que le flpc les gagne, C z 1