gnard ( pugw) ou clu pataz&nium^ ^— A rationibus, ou
rattociri^tar, éUil Tofiicier chargé de$ cojQpte « de la mai— :
êoik des Augustes : Zouare Tappeile prasfeetm fisçi. Ce
serait chez nous le maître dsê eompUs. ^— A sandalio^
était la femme chargée du soia des chaussures de l’impératrice
ou dea princesses. — * Aseere^tîa, était le secrétaire,
qui es t. appelé notarius seer^etrufn, par Yopiscus, — A
studiîs, était celui qui dirigeait le prioce daos &g^ études.
-^A mppellectiU^ était préposé au soio des meubles et delà
y aisselle. — A vest^^ était chargé du soii de la garderobe.
-^ A voluptatibuê, était Tinteudant des plaisirs du
prince, dea^menus plaisirs. Tibère créa cet office, et le
voluptueux auteur du Festin de Trtmalclon en fut revêtu
sous Néron. r-^Ab aeiUfori^ était Je greffier qui rédigeait les
actes du barreau, les sentences des juges » et q<ii appdail
les causes. — Ab actis S6na$ûê, était le greffier ou Tarcbiviste
du sénat, —y^Ab admi$$ianibHâ, Qa adnrnsîonaUû »
étaient les huissiers qui introduisaient auprèjs du prince,
les introducteurs. — Abœgris Qubioulariorum, avait soin
des valets de chambre malades. — Ab atrio eurando, ou
atrii curandi, était peut-être rqfiieier appelé atrUnsis,
l’huissier de aalle, le majordome : ce mot est dérivé d’àtrimn
^ vestibule. —^ A bephemei^iehs est un affranchi qui,
sans doute, tenait V agenda journalier du prince,.ou uot^
de ce qu’il faisait tous les jours. ^ — > Ab epùtolis ^ était le
tllre du secrétaire. Narcisse avait cet. emploi à la cour de
Claude. — Ab hortulo, était Je jardinier. ~— Ab J9.ni$â,
était le portier, z— Ab amamentis, était une charge de
la maison d’Augu&te qui consistait à contrâler ou inspecter
tout ce qui était susceptibla d’embellissement.
B.J.
AB, mot hébreu qui signifie père. C’est de là qi^e lef Chaldéens et les Syriens ont lire leur abba, et Iqs Grecs leur abbas, que les Latins ont adop.lé pour e ; iprim^ 1^ même idée. La langue française a puisé dans cette spurce les mots abbè et abbesse, noms des supérieurs ou supé-