d. — La main est étendue la paume en bas, le couteau dans la même position, mais sur le dos de la main ; même mouvement.
e. — On étend la main la paume en dessus, on ramène à l’intérieur les doigts annulaire et majeur qu’on maintient avec le pouce. Le couteau est posé sur l’auriculaire et l’index, la lame vers la droite ; même mouvement. — Cette manière de piquer le couteau s’appelle la fourchette.
f. — Le poing est fermé, la paume en haut, le couteau est posé sur l’extrémité des doigts et la lame passe sur le pouce.
g. — On saisit le manche du couteau entre l’extrémité des quatre doigts rapprochés ensemble et du pouce et on le lance sept fois de suite ; il faut qu’il pique à chaque fois. — C’est ce qu’on appelle les sept coups.
h. — On prend l’extrémité de la lame entre le pouce et l’index et on lance le couteau en l’air en le faisant tournoyer.
i. — Le manche du couteau placé entre les dents, on l’abandonne à son propre poids.
j. — Le manche du couteau tenu entre le pouce et l’index est porté sous l’œil droit et lâché.
k. — Même chose sous l’œil gauche.
l. — Même chose sous le nez.
m. — Même chose sous le menton.