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Envoi.
Seigneur, je viens suspendre en déployant mon aile,
Une harpe d’un jour à ta voûte éternelle j
Car, il faut pour chanter au monde dire adieu ;
Le poète n’est plus un son qui nous amuse,
C’est le clairon sonore ou l’humble cornemuse
Qu’embouchent les lèvres de Dieu.