Je le vois : à ses côtés un guerrier tient une torche ardente[1].
Quel est-il ? n’est-ce pas celui que notre navette a représenté sur la toile, lolas, le fidèle compagnon des glorieux travaux du fils de Jupiter ?
Voyez encore ce héros monté sur un coursier ailé, terrassant le monstre a trois corps qui vomit des flammes[2].
Je porte de tous côtés mes regards attentifs.
Contemplez sur ce mur le combat des Géants.
Chères amies, regardons ce tableau.
Reconnaissez-vous la déesse qui tourne contre Encélade son égide à la tête de Gorgone ?
Ah ! c’est Pallas, c’est notre divinité.
Et ces carreaux étincelants que lance au loin la main redoutable de Jupiter ?
Je le vois foudroyer le superbe Mimas.
Ici, Bacchus, de son thyrse entouré de lierre pacifique, renverse un fils de la Terre[3].