— En effet, mon chéri, en tout cas, nous allons nous en servir comme tel.”
— Ah ! vous allez donc tenir votre promesse, ma chère Eveline ? Venez je vais vous faire un tapis avec mon pardessus.
— Mais non, nous serons tout aussi bien sur le tronc de cet arbre qui semble placé là tout exprès.
— Je m’assis sur le tronc moussu et relevai mes jupes ; Frédéric vint se placer devant moi sur ses genoux, baisant passionnément ma petite fente.
— Comme cela sent bon, disait-il, entrecoupant ses phrases de petits baisers, je crois que la rose fraîchement épanouie n’est pas plus odorante. Mais comment cela se fait-il, ma chère, que vous ayiez à cet endroit beaucoup plus de poils que moi ?
— Mais tout simplement parce que je suis plus âgée que vous, mon cher ami.”
— Voyez, mon adorée, comme mon vit palpite et languit de désirs, laissez-moi l’entrer tout doucement, oh ! quel délice ! quelle chaleur enivrante !”
— Oh ! cher frère, pousse fort, encore… encore… oh ! je décharge… je me…, meurs… verse tout en moi… tout ton foutre… Oh !…
Trois fois je mourus de volupté dans ses bras, et mon jeune Hercule était aussi vaillant au troisième assaut qu’au premier ; il aurait fourni volontiers une quatrième course, mais je m’y opposai fermement soucieuse de sa santé et de sa fraîcheur, tout en rendant hommage à la vigueur de ses