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III

Fin du tête-à-tête


Clotilde avait pris les deux mains de Georges et le regardait dans les yeux.

— Tu l’as dit tout à l’heure, murmura-t-il, je suis incapable de te tromper. Tu viens d’exprimer le vœu le plus cher de toute ma vie, tu as donné un corps à mon rêve. Vivre avec toi, tout à toi, ce serait le bonheur…

— Eh bien ! fit Clotilde, qui frappa du pied.