Page:Féval - Le Mari embaumé, 1866, tome 2.djvu/289

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Huit heures sonnant, dit-elle à Mitraille qui se présenta le premier, que les portes de mon château de Pardaillan soient grandes ouvertes. Neuf heures sonnant, que cette lettre soit remise à ma fille, celle-ci à mon fils, cette dernière à Sa Majesté la reine. Allez ! et qu’il ne soit fait aucune résistance à M. le lieutenant de roi.