Cette page a été validée par deux contributeurs.
II
INTÉRIEUR DE CAPITALISTE
La porte qui donnait sur l’escalier était grande ouverte pour établir un courant d’air. Le Poussah agitait en outre, à tour de bras, un vaste éventail en papier vert dont la ventilation tempétueuse ne suffisait pas à tarir les ruisseaux de sueur qui se croisaient sur ses joues.
Il but un bon verre de bière et attendit.
— Êtes-vous là-haut, voisin ? demanda une douce voix de ténor au bas de l’escalier.
— Montez, montez ! fit le père Preux. Tais-toi Tonneau !