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XXVIII

Le parricide


Le comte Julian s’arrêta à deux pas de son aïeul. La lumière de la lampe éclairait vivement son visage sans barbe et qui semblait sculpté dans l’ivoire.

Ainsi pleinement illuminés, les traits du Julian n’étaient plus ceux d’un jeune homme.

Sa beauté, car il était beau à la façon des comédiennes qui « font de l’effet » au théâtre, procurait à l’esprit un sentiment d’hésitation.