Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/257

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— Parfait ! murmura-t-elle ; parfait !… Parlez-moi d’un aveugle pour déterrer les jolies femmes !

Elle toussa et laissa retomber la porte. Susannah se retourna lentement.

— Ma chère enfant, dit la vieille femme, je suis la duchesse douairière de Gêvres ; vous êtes, vous, la veuve de mon malheureux neveu, mort à la fleur de l’âge et que je regretterai toujours, le prince Philippe de Longueville… Embrassez-moi, chère nièce.

La vieille Française se pencha et baisa au front Susannah qui se laissa faire.

— Princesse, reprit-elle, vous vous sou-