Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/363

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point de plaisir à la lire, car elle est, je crois, d’un bon gentilhomme.

— De Frank ! s’écria vivement Stephen dont le front se rasséréna.

— J’ai appris à reconnaître son écriture, mon enfant, parce que ses lettres te donnent de la joie.

Stephen baisa sa mère d’un air qui demandait grâce pour sa mauvaise humeur.

— Il arrive aujourd’hui ! dit-il après avoir lu les premières lignes. — Il doit être arrivé !… Pauvre Frank ! lui aussi va être bien malheureux !…

— Lui aussi ! répéta mistress Mac-Nab. Serais-tu donc malheureux, toi, Stephen ?