Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/300

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

bagatelles… Je crois, voyez-vous, que j’ai beaucoup trop tardé à vous dire ce dont il s’agit… Madame la princesse de Longueville, dont j’ai mis souvent à contribution à Paris la charmante hospitalité, se trouve seule ici avec sa tante, madame la duchesse de Gêvres, dont la mauvaise santé neutralise le bon vouloir… Tenez ! la voici seule maintenant dans sa loge et je voudrais gager que madame la duchesse a été forcée de se retirer… — Je serais bien heureux, milady, si vous daigniez me venir en aide pour acquitter envers la princesse ma dette de courtoisie… J’aurais l’honneur de vous la présenter…

— Ici, milord ? interrompit Ophelia.

— Si vous voulez bien le permettre milady.