Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/48

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doux, pardieu, chacun sait cela… Voulez-vous prendre une prise d’irish snuff[1], Mac-Farlane ?

Master Gruff tendit sa boîte ouverte et s’aperçut seulement alors que le laird ne l’écoutait pas. Il poussa un long soupir de soulagement.

— Le voilà parti ! murmura-t-il en souriant lourdement ; maintenant on pourrait lui voler sa main droite sans que la gauche s’en aperçût… C’est égal ! je voudrais bien que l’affaire fût faite là-haut…

Le laird avait croisé ses deux mains sur ses

  1. Tabac d’Irlande, renommé par sa force et son odeur diabolique.