Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/86

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ble de ses sourires, — et nous vous rendons votre appartement.

Le laird s’avança lentement vers l’intérieur de la chambre. La fixité morne de ses regards témoignait de reste qu’il ne voyait rien de ce qui se passait autour de lui.

— Laisse aller, malheureux, laisse aller ! murmura mistress Gruff en se tournant à demi vers son mari, qui demeurait comme pétrifié.

— Vous ferez approcher un cab, dit le laird dont les idées semblèrent revenir aux choses de la vie ; — je veux me rendre dans Cornhill pour voir mes filles.