Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/105

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Bembo fut ainsi témoin de toutes les luttes qui suivirent entre le malade et Rio-Santo. Dans les intervalles, il voyait celui-ci, dont les connaissances étaient universelles, soigner le fiévreux avec l’habileté d’un médecin consommé et avec la tendre sollicitude d’un frère.

Son esprit s’y perdait. — Quel était cette homme ?

Assurément, sans mériter reproche aucun de curiosité, il était permis de se faire cette question.

Mais il était malaisé d’y répondre.

Bembo d’ailleurs, ne se préoccupait de ce secret qu’en tant qu’il intéressait le marquis.