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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/265

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aux choses leur nom véritable, et ne cherchait point dans des faux-fuyants de conscience un simulacre d’absolution. Il était franc avec lui-même, et choisissait un refuge plus volontiers dans sa fierté que dans d’hypocrites accommodements.

Sa fierté lui montrait le but pour excuse, le but et la force disproportionnée de l’ennemi qui en défendait l’approche.

Mais Angus, pourquoi faire peser sur Angus une part du fardeau fatal ?…

O’Breane se disait cela ; mais il est dans la nature de l’homme que domine impérieusement une idée, de tenir outre mesure au néophyte conquis à sa religion. Et puis Angus