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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/355

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Il se fit un silence. — Stephen désespérait, car, évidemment, le laird ignorait le sort de ses deux filles. Pourtant il les avait vues, et ses indications pouvaient mettre sur la voie, en supposant qu’il pût ou qu’il voulût s’expliquer d’une façon précise. Tandis que Stephen cherchait le moyen d’interroger, sans augmenter le désordre qui régnait dans l’esprit ébranlé de son oncle, celui-ci reprit la parole.

— Je vais retourner chez Fergus, dit-il.

— Fergus ! répéta mentalement Stephen à qui ce nom remit en mémoire le récit de Perceval et l’orgie des souterrains de Crewe.

Le laird continuait pendant cela.